Dans un arrêt rendu public ce mercredi, le Conseil constitutionnel a proposé le 31 mars, rejetant le 2 juin, issu du dialogue national.
Les sept Sages ont transmis leur décision au Président Macky Sall dans la matinée. Mais le même jour, le chef de l’État a écarté cette proposition pour retenir le 24 mars. Mais d’après L’Observateur, pour balayer la date avancée par le Conseil constitutionnel, Macky Sall a prétexté la coïncidence entre le 31 mars et Pâques.
La même source poursuit : «Après avoir eu des garanties d’une bonne organisation du scrutin par les services compétents, le Président Macky Sall a instruit son cabinet de préparer les deux projets de décrets pour la fixation de la date de l’élection présidentielle et la convocation du corps électoral.
