Augmenter le taux de pression fiscale à 20 % (contre moins de 18 % actuellement).
Rationaliser les dépenses fiscales pour réduire les exonérations et augmenter les marges budgétaires.
Évaluer l’impact économique et social des avantages fiscaux (2232 milliards de FCFA entre 2019-2022).
Réaliser un audit exhaustif des mesures fiscales et dresser une nouvelle matrice des mesures dérogatoires d’ici décembre 2025.
Réduire les exonérations sur : L’impôt sur les sociétés de cimenterie, L’impôt sur le revenu (actualisation du barème progressif), La tranche sociale des livraisons d’eau et d’électricité (ciblage des ménages défavorisés).
Examiner les 18 conventions fiscales bilatérales : Retrait des conventions avec les paradis fiscaux.
Renégociation des clauses défavorables avec les pays à fiscalité normale.
Centraliser les mesures dérogatoires dispersées dans les textes (codes minier, pétrolier, des télécommunications, des investissements, etc.) dans un code général des impôts.

