Il y a plus grave que les élucubrations politiques grotesques de Cheikh Yerim Seck, c’est lorsqu’il promeut le financement de l’économie par la délinquance financière et l’argent sale.
Oser affirmer, qui plus de façon péremptoire, que lorsqu’ils ont besoin d’argent, même les États Unis ouvrent leur frontière aux trafiquants de drogue mexicains pour financer leur économie.
Voilà l’argument d’autorité qu’il a osé brandir pour disqualifier la politique de lutte contre le blanchiment de capitaux du duo Diomaye-Sonko qu’il qualifie avec mépris de «rétrogrades» (Kaw-Kaw).
Le patriotisme économique du Gouvernement Pastef veut créer un secteur privé FORT, des champions nationaux dans l’industrie, l’agriculture, la chimie, les mines, le numérique, le BTP, à même de rivaliser dans les années à venir avec les multinationales qui seront obligées de les associer par des joint-venture dans leur projet d’installation au Sénégal.
Des champions qui vont créer de la valeur et de la richesse à partir de l’économie RÉELLE, et non des Oligarques qui opèrent à partir de capitaux blanchis issus du trafic de drogue, du faux monnayage, du foncier, et des marchés publics détournés.
Un tel dévergondage intellectuel de Cheikh Yerim Seck montre l’urgence de DÉMANTELER judiciairement, politiquement et économiquement le SYSTÈME d’Operateurs-Prédateurs qui ont émergé, profité et accompagnéle Régime de l’Apr pendant 12 ans.
Ils n’agit plus seulement d’assainir, mais de DÉRATISER la mafia économico-financière qui commence sérieusement à NARGUER la République.
Honorable député Amadou Ba

