De Gabrielle Kane
Babacar TOURE, je constate que tu n’as toujours pas les couilles de me nommer. Why ?
Après deux années à vendre à tout le monde que tu ne prononces pas mon nom, tu cherches mon numéro, m’écris et m’appelles pour une rencontre.
Quand on vend publiquement que l’on ne dis pas le nom de quelqu’un par mépris, on ne prend pas son numéro et on ne lui demande pas de rencontre.
C’est d’ailleurs ce que je t’ai répondu avec une fin de non recevoir par constance. Douma sa morom.
Mon message, je te le dis publiquement, car je l’assume pleinement le mensonge et le manque professionnalisme te font défaut. Doul rék !
Si tu veux que je te parles, achète toi des couilles et si tu n’as pas les moyens, la Tabaski arrivant, on pourra te trouver une paire avec les béliers…
Mais avec ton 1m50, je doute que tu puisses les porter… c’est pas donner à tout le monde…
Tes requêtes à mon ex pour une interview à charge, ta menace de me faire envoyer un mandat rapidement ne m’ébranle pas. Tu n’es qu’un lâche !
Je te ferai face ou tu voudras mais quand tu en auras dans le pantalon pour venir me faire face.
Les autres là attendez, j’ai pas perdu ma langue dé dîna clair assez rapidement. C’est ce gougnafier de manipulateur qui me fait faire une exception !
Excellente soirée à tous !