De Thierno Bocoum
L’affaire Ndiaga Diouf est une triste illustration de la facilité pour certains hommes politiques à se dédire afin de défendre de bas intérêts électoraux.
Hier, ceux qui ont sorti Barthelemy Dias de prison avaient fini par faire de son dossier une épée de Damoclès perchée sur sa tête.
Les autres qui ont ensuite décidé de le défendre et de grossir les rangs de ses accompagnateurs aux procès utilisent aujourd’hui ce même dossier pour le combattre et tenter de lui confisquer ses postes acquis par le biais du suffrage universel.
Finalement rien ne change, sauf que le pire nous guette.
Thierno Bocoum
Président AGIR

