Le journaliste a la possibilité d’interviewer qui il veut. Un droit que nous défendrons toujours. Mais, ce qui sort de la bouche de Madiambal ne peut être considéré comme de l’information.
Les journalistes mis en cause ne peuvent pas ne pas comprendre que le fugitif a sorti le nom du général Birame Diop, après celui du général Kandé, pour tenter de créer une friction au sommet de l’État dont l’objectif est très clair.
Tous ceux qui relaient des appels à la déstabilisation du pays se mettent hors du champ de la légalité. On l’assume ou pas.
Mame Birame Wathie

