Qu’avons-nous fait au Bon Dieu pour avoir une opposition aussi ridicule et inutile que celle-là ?
1° Macky Sall et la bande de cleptomanes qui lui sont restés fidèles sont plus occupés à réécrire l’histoire, à effacer les traces de leurs méfaits, à liquider les témoins gênants qu’à s’opposer
2° L’opposant arrivé 2ème avec ses 35%, Amadou Ba, censé être le chef de l’opposition, conscient de son rôle central dans les génocides financiers, préfère garder le silence pour ne pas précipiter sa nomination comme Chef de la Chambre 42.
3° L’opposant arrivé 4ème avec ses 1,5 %, Khalifa Sall, après son minable « na bokk rèk », vient de signer sa nouvelle mort politique en défendant le droit de Assane Diouf à insulter les parents de Ousmane Sonko
4° L’opposant arrivé 5ème avec ses 0,9%, Idrissa Seck, cherche une porte de sortie dans son labyrinthe de tortuosités.
5° L’opposant arrivé 6ème avec ses 0,58%, TAS, est dans la haine et la jalousie, et non dans l’adversité politique.
6° L’opposant arrivé 8ème avec ses 0,47%, Aly Ngouille Ndiaye, conscient de sa culpabilité pour génocide financier, a choisi de rester à l’abris des micros et projecteurs pour ne pas précipiter son voyage à Reubeus
7° L’opposant arrivé 9ème avec ses 0,4%, Pape Djibril Fall, est surement trop occupé à écrire ses prochaines histoires à dormir debout qui n’ont jamais d’autres témoins que lui seul
8° L’opposante arrivée 13ème avec ses 0,3%, Anta Babacar Ngom, a un discours plus moyenâgeux que les vieux débris de la politique avec qui elle s’est alliée.
9° L’opposant arrivé 15ème avec ses 0,3 %, Mame Boye Diao, probablement le pire délinquant foncier et financier que le Sénégal ait connu croit tromper quelqu’un avec ses tentatives de transhumance
10° L’opposant Bougane semble fatigué de jour le rôle du clown de l’opposition
11° L’opposant Barth, le Juda de l’opposition Barth peine à se remettre de son éjection de la mairie par un simple Bayna Gueye
Finalement le Sénégal est dépourvu d’une opposition politique. Et pourtant ce n’est pas la matière à s’opposer qui manque. En lieu et place ce sont des journalistes et chroniqueurs péripatéticiens, nostalgiques de l’ère sanguinolente des cleptomanes, qui tirent de façon désespérée sur tout ce qui bouge.
C’est vraiment dommage pour le Sénégal qui va traverser plusieurs mandats sans enjeu, sans compétition, où les propositions alternatives se limiteront à des insultes, à des VAR puériles, à des djeufours de mercenaires de la presse.
MARVEL NDOYE
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