L’ex capitaine de la gendarmerie, Seydina Oumar Touré, estime que monsieur Ndiaga Sylla a raison sur le fait que le décret 2023-2152 portant nomination des membres de la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) viole la loi en ce sens qu’il méconnaît l’obligation de neutralité, d’impartialité et de renouvellement par tiers des membres de la CENA.
«En notre qualité de candidat à la candidature pour l’élection présidentielle du 25 février 2024, nous restons ouvert à toute entreprise collective en vue d’un recours pour excès de pouvoir devant la chambre administrative de la cour suprême tout en nous réservant, au cas contraire, le droit individuel d’ester en justice», a-t-il dit.